Comment continuer à négocier les conditions d’emprunt immobilier ?

A première vue, la baisse historique des taux d’emprunt immobilier est une réelle panacée pour les futurs investisseurs et les créanciers qui souhaitent faire racheter leur prêt. En effet, alors qu’en 2011, le taux d’emprunt…

A première vue, la baisse historique des taux d’emprunt immobilier est une réelle panacée pour les futurs investisseurs et les créanciers qui souhaitent faire racheter leur prêt. En effet, alors qu’en 2011, le taux d’emprunt immobilier moyen sur vingt ans était de 4%, le taux moyen auquel empruntent les particuliers sur vingt ans est désormais de 2.1%.

Alors est-ce vraiment beaucoup moins cher d’emprunter? De plus, les investisseurs ont-ils une marge de manœuvre pour continuer à négocier malgré des taux historiquement bas.

Quel est l’impact majeur de la baisse des taux sur le coût global du crédit ?

Les conséquences financières de cette conjoncture économique favorable aux investisseurs sont majeures. Ainsi les détenteurs de crédits immobiliers depuis plusieurs années ont vu le coût de leur emprunt diminuer considérablement suite à la diminution des taux de crédits immobiliers.

Cette baisse globale du coût de l’emprunt se chiffre bien souvent à plusieurs milliers d’euros. Pour ceux qui n’ont pas solliciter un rachat de leurs créances passées, c’est le moment idéal d’y songer.

Pour ceux qui ont peu de temps à consacrer à cette démarche, il existe des courtiers en rachat de crédit. Leur mission consiste à vous trouver les meilleures conditions d’emprunt. Ils effectuent donc le tour des banques à votre place.

Les nouvelles marges de négociation d’emprunt

La chute des taux d’intérêt d’emprunt limite aussi la marge de négociation des particuliers. Effectivement, au vu des taux d’intérêts planchers que les banques proposent, ces dernières sont de plus en plus réticentes à des négociations supplémentaires.

Pourtant, il reste des éléments de renégociation à la main de l’investisseur. Ainsi, il est souvent opportun de comparer le coût des Assurances Emprunteurs proposées par plusieurs organismes d’assurance.

Ainsi, rien n’oblige l’emprunteur à souscrire au contrat d’assurance proposé par la banque. Si il est trop, que l’offre d’emprunt est déjà signée, le créancier a alors un ans pour résilier le contrat d’assurance au profit d’un autre avec des garanties similaires.

Enfin, il peut être utile de négocier les pénalités de remboursement anticipé. Celles-ci s’élèvent normalement à 3% du capital restant dû, mais on oublie bien souvent qu’elles peuvent faire l’objet d’une négociation lors de la mise en place du financement.

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