Découvrez à travers nos multiples conseils d’expert, la démarche à suivre avant de souscrire à un rachat de crédit ayant pour but modifier l’organisation du budget financier.
Comparer les propositions de rachat de crédit pour bien négocier
Comme pour tout acte d’achat, lors de la souscription à un rachat de crédit il faut comparer les propositions pour bien négocier !
Il s’agit d’une réelle tâche à mener, fastidieuse et nécessitant une connaissance du marché, la meilleure solution est de faire appel aux services d’un courtier intermédiaire en opération de rachat de crédit.
Véritable professionnel du métier et connaisseur des différentes facettes du marché, il entreprend toutes les tâches de A à Z pour vous obtenir la meilleure offre du moment aux meilleures conditions de financement.
Un regroupement de crédit adapté à votre capacité de remboursement pour vous permettre de gérer sereinement la gestion de vos mensualités et de votre budget financier.
Souscrire à un rachat de crédit : que faut-il négocier ?
Afin de vous permettre une meilleure compréhension de ce qui peut être négocier lors d’une opération de rachat de prêt, voici une liste des différents points qui présentent un atout lors des négociations avec le prêteur :
- Le taux d’intérêt est sans doute l’un des indicateurs les plus importants. Effectivement, ce dernier accouplé avec la durée d’amortissement déterminent le coût total du crédit quand celui-ci est fixe. Alors le négocier à la baisse c’est possible, et cela réduit la facture de l’argent emprunté à l’établissement bancaire où à l’organisme financier prêteur. D’autant plus qu’il serait dommage de ne pas profiter actuellement des taux d’intérêt historiquement bas !
- Les frais dossier rachat de crédit peuvent être également négocier à la baisse. Ils sont les frais impacté par le prêteur pour l’instruction du dossier par ses analystes financiers.
- Un rachat de crédit peut faire l’objet d’un remboursement anticipé à tout moment. Alors pour éviter les frais liés aux indemnités de remboursement anticipé (IRA), l’idéal est de négocier leur annulation en amont lors des négociations avec la banque. Ils sont de l’ordre de 3% pour le régime immobilier, et de 1% pour celui à la consommation.